L'HOMME DE JADE©
TAÏ CHI CHUAN - Style Yang Originel
"Le Ciel se reflète parfaitement sur la Terre.
Observant la Voie, l'Homme de Jade peut être présent à ce qui est..."







Témoignages et histoires



N.Z. juin 2014
Voilà des années que je souhaite exprimer que ce qui m’a été transmis lors des séances de Tai Chi a réellement transformé ma vie, et m’a permis d’atteindre une certaine forme de sérénité et d’équilibre qui m’étaient jusqu’alors inconnus.

L’apprentissage du taï chi a été pour moi une école d’exigence et de patience pour pouvoir effectuer les gestes précis. J’aime ce cheminement vers le mouvement parfait !

La concentration, la lenteur, cette méditation en mouvement m’ont dirigé vers une plus grande intériorité et un épanouissement personnel inattendu. Je ressors des séances à chaque fois ressourcée, et le calme intérieur a remplacé les tensions de la journée.  Après chaque séance de taï chi je retrouve le sommeil, un sommeil réparateur et léger. Et cette énergie dont on parle si souvent, oui, bien sûr, je la ressens pendant plusieurs jours !

 Par le travail de la respiration, du souffle, j’apprends à être dans une plus grande maîtrise de mon corps et de mon esprit et chaque jour, ce qui m’est enseigné m’aide à trouver de l’énergie positive et un plus grand contrôle de mes émotions.

Les secousses de la vie m’ont fait douter que je puisse trouver un jour un peu de paisibilité et de tranquillité. J’étais plutôt destinée à chavirer, à être emportée dans les eaux sombres. J’ai choisi, il y a plus de cinq ans le Taï chi comme une bouée de survie. Le taï chi a contribué à me tenir debout « ancrée dans la terre », dans un état d’éveil heureux et doux. Je respire, j’agis au rythme qui me convient, et cela me donne le sentiment qu’il est possible d’être bien dans son corps et d’être en dialogue harmonieux avec son esprit. Cela fait du bien d’exister par soi, pour soi.

À chaque séance j’ai le sentiment de me trouver et de me retrouver. De me construire. Pas à pas. Geste par geste. Mouvement par mouvement. J’aime le Qi gong, Yi gong, l’épée…J’aime ouvrir les bras comme un oiseau, comme une hirondelle, pour reproduire les mouvements proposés. J’accepte avec de plus en plus de facilité et de plaisir d’être au contact des autres, car la confiance est désormais assez solide.

Le taï chi est une école de spiritualité, de vie et de plaisir ! C’est une école d’humilité qui enseigne qu’il faut du temps pour réaliser le mouvement parfait. Pas à pas, je sculpte. Même si je me trompe ou si je tremble, je recommence avec bonheur. Le taï chi renforce l’estime de soi et c’est un beau cadeau !
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M.H. novembre 2013
J’ai commencé mon apprentissage en Taï Chi Chuan avec enthousiasme en 2011. Depuis, je reçois un enseignement technique, rigoureux et exigeant. Les douleurs physiques que je supportais depuis des années ont disparu au fur et à mesure, mon sommeil est devenu profond et réparateur. 

Je suis émerveillée par le calme, la joie, la patience, l’énergie et l’optimisme qui règne en moi. L’apprentissage de cet art me guide dans un ailleurs, que j'ai toujours cherché, deviné, frôlé. Cette aventure m’a ouvert un champ infini de possible et je ne m’en lasse pas. C'est la voie que je cherchais depuis mon enfance.
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C.H. juillet 2012
Lors du premier cours, j'ai ressenti des fourmillements dans tout le corps, j'ai beaucoup transpiré et je me suis sentie à plusieurs reprises envahie par l'émotion. C'était mon premier cours de tai chi chuan et j'ai senti que ce serait le premier d'une longue série. Les mois qui ont suivi ont vu alterner des moments d'enthousiasme et des moments de découragement avec même une interruption de plusieurs semaines. Mais le souvenir des sensations du premier cours brûlait en moi comme une veilleuse, je sentais que le tai chi faisait désormais partie de ma vie. Petit à petit je suis parvenue à intégrer quelques uns des enseignements de mon professeur à mon quotidien. J'accorde davantage d'attention à ma respiration, à ma posture. Je prends du temps le matin ou bien dans la journée pour respirer, enchaîner quelques mouvements, me calmer et me rassurer lors d'un moment éprouvant (mauvaise nouvelle, différend d'ordre professionnel, réunion importante...) ou simplement pour m'accorder une pause. Les journées ont ainsi une coloration totalement différente, je me sens davantage "en moi".  

Petit à petit, je sens que j'avance dans l'apprentissage de la technique. Cet aspect est important car il me procure du plaisir lié à la satisfaction du geste bien fait et un sentiment de plénitude lors de l'enchaînement des mouvements en groupe. Mais ce que je retiens davantage concerne l'être et non le faire: le tai chi m'enseigne comment être présente à ce que je fais, à ce que je suis, à être patiente, persévérante, à être à l'écoute de mes sensations, à puiser en moi l'énergie et la sérénité nécessaires pour avancer dans la vie. Je pense que nous avons tous un besoin d'intériorité mais nos vies bruyantes et chronométrées nous coupent de nos sensations et brouillent nos repères. Le tai chi m'ouvre peu à peu les portes de moi même.
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Y.A.
Le Taï Chi, si je devais le résumer simplement m'a apporté beaucoup sur ma santé personnelle et quelques petits problèmes de coeur ont complètement disparu. C'est aussi le prolongement d'un long travail personnel qui m'aura aidé à me recentrer. Je pense que le Taï Chi apporte des choses différentes en fonction du parcours de chacun. Je ne suis pas venu au Taï Chi dans l'espoir qu'il m'apporte telle ou telle chose. J'ai laissé venir, je laisse les choses prendre place et je profite du bien-être qu'elles me procurent. Je crois aussi que le Taï Chi aura ouvert certains noeuds intérieurs pour laisser circuler librement l'énergie, ça, je le ressens très fort.
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A.M.
Pratiquant depuis : septembre 2000.
Pourquoi le Taï Chi Chuan (attentes) ? Ancien pratiquant d'Aïkido, je souhaitais avoir une pratique plus douce et moins traumatisante pour mes articulations, tout en conservant les aspects de développement : du calme, de la concentration, de la maîtrise de soi, de la conscience de la respiration, de la circulation de l'énergie interne ; ainsi qu'une approche spirituelle de la pratique, le tout permettant une meilleure compréhension de soi et donc de la vie et du monde, induisant une meilleure relation avec soi-même, avec les autres et avec l'univers et donc une meilleure santé.

Que m'a apporté le Taï Chi Chuan ?
Bien que récent dans la pratique, je reçois beaucoup de plaisir a pratiquer la forme, beaucoup d'intérêt à la travailler pour qu'elle me révèle les points qui me posent problème (par exemple, les équilibres) d'où un début de compréhension, et aussi beaucoup de joie à partager les applications pratiques et à découvrir le pourquoi des postures. Ce qui me manque par rapport à l'Aïkido est l'aspect dynamique et circulaire des Kokyu, mais aussi la dimension humaniste, hautement spirituelle et lumineuse qui veut muter la violence en paix, et que je ne retrouve pas (pour l'instant) dans le Taï Chi.
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A.H.
Combien de temps de pratique ? depuis 1997 jusqu'à aujourd'hui (2006).
Quelles étaient mes attentes ? besoin d'avoir une activité physique que je puisse pratiquer régulièrement, mais à mon rythme ; à gérer mon stress ; à trouver une harmonie intérieure ; envie de découvrir le secret !! J'ai toujours trouvé très beau et très harmonieux cet art martial qu'est le Taï Chi Chuan. Il m'a souvent ému.

Ce que le Taï Chi m'a apporté : de la persévérance ; plus de calme face à l'impulsivité ; plus de sérénité (même si l'âge joue un rôle important). J'ai retrouvé une énergie que je pensais avoir perdue et une joie aussi. Et d'une certaine manière, cela m'a aidé à stopper le tabac. En fait que du bien !
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F.T.
Cela fait la sixième année que je pratique le taï-chi. Au départ je souhaitais avoir une activité épanouissante qui ne soit pas tout à fait du sport ni tout à fait de la relaxation. J'avais entendu parler du taï-chi, plus par son côté "intellectuel" ; j'avais entendu dire que c'était un genre de "gymnastique chinoise".

Je me souviens avoir assisté à une séance de "démonstration" à Paris, qui m'avait laissé une impression très positive de "sentiment de sérénité". A la suite de cela mon choix s'était porté sur la salle de Vincennes, pour des raisons géographiques, et aussi parce que cela me convenait bien de pratiquer dans une salle d'arts martiaux ; cela donnait en effet une identité à cette pratique qui pour moi était encore floue.

j'aurais du mal à décrire précisément comment s'est transformée ma vision du taî-chi style yang originel. J'ai accepté et j'ai pris du plaisir à rentrer physiquement dans ce qui était pour moi une "philosophie". Ma première année de pratique a sans doute été déterminante, dans la mesure où, l'apprentissage avec Alex, Francis et Véronique, mon contact avec le groupe de pratiquants a été rassurant et positif. Nous étions quelques débutants à progresser presque au même rythme, et nous nous sentions vraiment en phase, presque en "communion". Nous voyions pratiquer à nos côtés des "avancés", ce qui donnait aussi du sens à ce que nous vivions, même si nous n'étions pas capables de nous projeter dans notre forme future.
 
Les années d'après, le groupe dans lequel j'ai pratiqué s'est trouvé modifié, mais il me semble avoir accumulé suffisamment de "sagessse" pour ne pas en être perturbée, et accepter agréablement les changements. Je trouve cependant que la notion de groupe est importante, alors que la pratique taï-chi est apparemment très individuelle. Le travail réalisé à l'occasion de démonstrations est d'ailleurs une illustration de cela : ce travail est interne, mais il est aussi externe parce que le rythme est commun et partagé, et qu'on peut en retirer un bien-être, et également offrir du bien-être à ceux qui regardent.

Pour moi la pratique du taï-chi est une grande leçon d'humilité. C'est une mise en relation de l'esprit et du corps qui demande du travail et de la constance. J'aime cette notion d'effort. Je ne saisis pas toujours concrètement les transformations qui s'opèrent en moi, mais je sais que ces transformations sont réelles, et qu'elles ne sont pas qu' "intellectuelles" : il me semble que ma pratique m'aide dans mon recul face aux événements, notamment lorsqu'ils sont conflictuels (dans le cadre profesisonnel notamment). Je commence à savoir respirer et à me sentir bien en respirant mieux. L'étiopathe que je consulte de temps à autre trouve qu'il y a des modifications dans ma "tenue vertébrale" (je ne sais pas très bien comment expliquer cela !). D'ailleurs il me vient assez souvent à l'esprit des rappels sur "mon axe". Je réalise aussi maintenant ce que signifie le mot "énergie".

Ce que j'aime aussi, c'et le côté "art martial", qui allie la nécessité de précision du geste et du travail sur l'énergie pour être efficace. Il y a beaucoup d'autres choses que je ressens mais que j'ai du mal à formaliser précisèment. J'ai le sentiment d'avoir entamé un travail qui ne s'arrêtera jamais : mais cela, loin de me décourager, me donne au contraire une confiance en moi que je ne soupçonnais pas. J'ai l'impression de cheminer, avec un rythme non linéaire. Je réalise aussi à quel point il est difficile de mettre son esprit dans son corps, comme il est difficile de toujours allier ses actes à sa pensée dans la vie "courante".

Ce qui est très satisfaisant aussi, c'est le bien-être que m'apporte la pratique du taï-chi, physiquement et intellectuellement, sentiment très présent dans les heures et le jour qui suivent les cours.
Et aussi : autres découvertes avec l'apprentissage de la forme de l'épée... 
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G.P.
Pratiquant depuis cinq ans le Taï Chi Chuan, je peux dire que cette discipline, avant tout martiale et non gymnastique comme beaucoup de personnes le pensent, m'a appris à me respecter moi-même ainsi que les autres puis à prendre soin de mon corps.

Etant de nature angoissée, un peu je m'en foutiste et rêveur, cet art m'a enseigné à être beaucoup plus vigilant sur ce qui se passe autour de moi (à être attentif aux bruits et odeurs de la nature, à écouter et respecter les autres, même si leurs avis sont différents du mien). De voir, toujours le côté positif des choses et d'être moins brusque dans mes gestes de la vie de tous les jours.


Je pourrais pratiquer le Taï Chi Chuan toute ma vie, je serais tout le temps un éternel débutant. Je ne remercierai jamais assez mon professeur pour tout le savoir, la sagesse, la gentillesse et la patience dont il fait preuve pour nous enseigner cette merveilleuse discipline.
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R.D.
J'ai commencé le Taï Chi Chuan en octobre 2000 en espérant trouver dans sa pratique régulière le moyen de lutter contre le stress et de relaxer mes muscles dorsaux (douleurs fréquentes).

Après quelques mois, je me sens effectivement mieux armé pour faire face au stress tandis que les tensions musculaires ont nettement diminué. J'apprécie également de pouvoir retrouver une certaine aisance corporelle et de la souplesse par la variété et la complexité des positions à adopter. Toutefois, je ne m'attendais pas à ce que mon genou droit soit autant sollicité. J'ai souffert d'une légère entorse, ce qui me conduit dorénavant à être très vigilant.